Agir face aux difficultés scolaires
Aujourd’hui, près de 20% des enfants sont en difficultés scolaires.
Les résultats de votre enfant vous inquiètent
Tous les ans, des parents sont confrontés aux bulletins scolaires et appréciations des enseignants qui énumèrent des difficultés pour leurs enfants : difficultés de compréhension, de concentration, de mémorisation, difficultés relationnelles. Ces difficultés peuvent bloquer l’accès à l’apprentissage. Bien souvent, un manque de confiance, d’estime de soi ou des comportements gênant (mal au ventre, maux de tête, vertiges, anxiété, angoisse ou de l’agressivité, impulsivité…) s’associent à ces difficultés scolaires.
Malgré leur bonne volonté, les enseignants ont souvent peu de temps pour accompagner spécifiquement ces enfants.
L’enfant/le jeune entre à ce moment dans une spirale de mal être, tout comme sa famille qui se sent parfois démunie face à la situation. Il est important de réduire la pression mise sur l’enfant ou le jeune au risque d’accentuer les symptômes et la mésestime qu’il a de lui. Le plus souvent, la situation d’échec scolaire n’est pas volontaire de la part de l’enfant. Il en est au contraire la première victime.
Sur qui pouvez-vous compter ?
Les enseignants alertent aujourd’hui suffisamment tôt pour que les parents puissent mettre en place des accompagnements spécifiques, que ce soit pour des troubles cognitifs, visuo-moteur, psychologiques, de déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité…. Une orientation vers un professionnel, comme un orthophoniste, psychomotricien, psychologue ou éducateur, est souvent conseillée. Ces professionnels savent apporter cette aide précieuse et bénéfique au développement de l’enfant et ainsi réduire les difficultés constatées.
Il arrive néanmoins, que malgré le travail effectué, certains troubles dysfonctionnels perdurent.
Une hypothèse et une solution que vous ne connaissiez probablement pas ?
Georges Quertant a développé, au début du XX siècle, la « Neuro-Somato-Psycho-Pédagogie » et crée la « Culture Psycho-Sensorielle ». Il a travaillé pendant plus de 25 ans, avec son frère médecin, notamment auprès de jeunes en difficultés d’apprentissage. Certains d’entre eux présentaient également des troubles du comportement ou des difficultés dans leur vie sociale.
Cette technique neuro-visuelle, mise au point par Georges Quertant et aujourd’hui appelée neuro pédagogie visuelle, met en évidence l’existence de déséquilibre du système nerveux central qui serait à l’origine de comportements parfois très handicapants, notamment chez les enfants sur le plan des apprentissages.
La neuro pédagogie visuelle repose sur un rééquilibrage progressive qui vise à réguler l’influx nerveux. La technique utilise la fonction visuelle comme porte d’entrée. Elle agit sur les automatismes gérés par notre système nerveux. Il s’agit d’une méthode douce et respectueuse du rythme de chacun.
Cette technique permet de retrouver un meilleur équilibre et d’optimiser les capacités de chacun.